Bien emballer ses petits plats à emporter

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En tête-à-tête avec son écran ou à l'extérieur avec ses collègues, rien de tel qu'une pause passée à savourer les préparations à emporter, achetées chez le traiteur ou à la sandwicherie… Et de la même façon qu'à chaque sport, il y a un équipement approprié et à chaque métier une tenue vestimentaire adaptée : un plat voué à être transporté nécessite un emballage spécifique. 

Le règne du « prêt à consommer »

Plus un seul supermarché sans un rayon de « prêt à manger », plus une seule spécialité culinaire qui n'ait pas son « food-truck » dédié. Salades, wraps, bagels, panini, ils font partie du quotidien de chacun et s'ils sont achetés pour être consommés presque dans la foulée, ce n'est pas sans un délai néanmoins : celui du trajet. De la boulangerie jusqu'au bureau ou de la boucherie jusqu'au parc, à pied ou en métro, quel qu'il soit, ce déplacement est pris en compte par les professionnels de la vente à emporter. Parmi leurs nombreux défis, il y a en effet celui du packaging. Grandes, moyennes et petites surfaces, traiteurs, chaînes de restauration rapide, boulangeries, pâtisseries, autant de métiers qui sont attentifs à l'emballage de leurs produits.

L'emballage, l'une des clés de la restauration rapide

L'emballage dans le secteur dit de la « street food » ou du « snacking » doit répondre à trois critères essentiels : être pratique, résistant et réutilisable. Interdit aux caisses depuis juillet 2016, le sac plastique à usage unique a été banni en France et l'est de plus en plus ailleurs en Europe. Exigence gouvernementale qui répond à une exigence des consommateurs soucieux de respecter l'environnement. C'est ainsi que le sac en papier Kraft, biodégradable et reconnu pour sa solidité, est devenu incontournable sur ce marché. Emblématique des États-Unis jusque dans les années 1990, le fameux « brown bag » a su s'imposer progressivement en France.

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